In punta di Rêve's Magazine - Naturally Dreamer
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Expo 12 Journalistes privés de liberté : le centre de formation Acb&CO de Montpellier, en collaboration étroite avec le Club de la Presse Occitanie, nous amène dans les couloirs d’un affront aux principes de liberté et des droits humains. Parmi les milliers de journalistes qui …
Dans l’ère actuelle de la stratégie de marketing digitale, les plateformes sociales se disputent la couronne du contenu vidéo engageant. Parmi celles-ci, TikTok se démarque comme une puissance incontestable pour captiver l’audience et accroître la portée des marques. Comment donc exploiter cette plateforme pour développer une stratégie de marketing percutante ? Comment faire du marketing sans oublier l’humain ?
Avant de plonger tête baissée dans une stratégie de marketing sur TikTok, il est crucial de comprendre son écosystème. TikTok est un terrain fertile pour la créativité, avec un public principalement jeune et passionné de contenus courts, ludiques et divertissants.
Ses algorithmes basés sur l’intelligence artificielle favorisent la diffusion virale, offrant une visibilité exponentielle aux vidéos engageantes. Comment réaliser des contenus qui captent l’attention des utilisateurs ? Voici nos astuces.
Le cœur de toute stratégie de marketing sur TikTok réside dans la création de vidéos captivantes. Optez pour des contenus authentiques, créatifs et alignés avec l’identité de votre marque. Les tendances, les défis et les formats interactifs sont des leviers puissants pour susciter l’intérêt de l’audience. Pensez à intégrer des éléments narratifs accrocheurs et des visuels percutants pour retenir l’attention.
N’oubliez pas l’humain ! Les utilisateurs sont des personnes et ils aiment entendre une histoire. Nous vous recommandons donc de créer des vidéos plus longues (plus d’une minute) qui peuvent raconter quelque chose d’intéressant, d’enrichissant et d’informatif.
De plus, TikTok nous offre une excellente opportunité d’intégrer de la musique dans nos vidéos : choisissez des chansons agréables et en rapport avec le thème de votre publication.
Et voici le tuto très utile, réalisé par Antoine aka La Méthode Antoine :
La régularité est la clé sur TikTok, mais aussi sur d’autres réseaux sociaux. Définissez un calendrier éditorial pour maintenir une présence constante. Cependant, la qualité prévaut sur la quantité. Assurez-vous que chaque publication incarne la qualité et la pertinence pour votre public cible. La cohérence visuelle et thématique renforce la reconnaissance de votre marque et favorise l’engagement continu. Si vous voulez transmettre un certain message, la passion est l’élément incontournable de votre stratégie de marketing.
L’optimisation est cruciale pour élargir votre audience sur TikTok. Utilisez des hashtags pertinents pour accroître la visibilité de vos vidéos. Participez aux tendances tout en les adaptant à votre marque pour maximiser la portée.
Collaborez avec des créateurs influents pour atteindre de nouveaux publics et renforcer votre crédibilité au sein de la communauté TikTok.
Une stratégie de marketing efficace sur TikTok repose sur la compréhension de l’audience cible, la création de contenus captivants et la cohérence dans la publication. En exploitant pleinement le potentiel de TikTok, les marques peuvent non seulement accroître leur audience, mais aussi générer une forte interaction et, par conséquent, une fidélisation de la clientèle.
Il y a un proverbe tchadien qui récit : « Pour savoir où l’on va, il faut savoir où l’on est. » (proverbe tchadien) Toutefois, par rapport à l’histoire du Tchad et à sa naissance si troublée, ce n’est pas toujours évident de savoir où l’on est. La …
Expo Ana Mendieta : le 2 juin dernier le MO.CO. Panacée de Montpellier a présenté le vernissage consacré à cette superbe exposition. Les œuvres passionnantes de l’artiste naturalisée américaine, mais née à Cuba, seront à la Panacée jusqu’au 10.09.2023. Ana Mendieta s’inscrit dans le mouvement artistique …
Monte-Cristo 2 L’Île est le deuxième chapitre de la BD créée par Jordan Mechner et Mario Alberti. Inspirée par le chef-d’œuvre d’Alexandre Dumas, l’histoire de Sam Castillo, injustement accusé de terrorisme, change complètement par rapport au premier tome, Le Prisonnier. Mourir tel qu’on est afin de survivre sous une autre forme ? Nous allons découvrir plus sur cet album paru le 22 mars 2023 dernier (Glénat-Comix Buro Éditions).
Malgré un malheureux incipit concernant la beauté italienne… (« Je croyais que les filles les plus canon se trouvaient en Italie, mais là, c’est la Croatie qui gagne », Tom Farrell, ndlr), Monte-Cristo 2 l’Île commence déjà depuis les premières pages à faire réfléchir. Nous y trouvons un Sam Castillo complètement changé : il est Victor Sirin maintenant, un mystérieux multimilliardaire maltais qui pourtant se dit aux origines douteuses.
Il prend soin de ses roses tout en attendant le moment propice pour jouer au chat et à la souris avec ses ennemis qui ignorent sa véritable identité. Même si les traits somatiques de Victor, magistralement esquissés par le maître italien Mario Alberti, sont différents, j’ai tout de suite eu l’impression d’avoir sous les yeux l’élégance de Peter O’Toole en Le dernier empereur (Bernardo Bertolucci, 1987).
En Monte-Cristo 2 L’Île la personnalité de Victor Sirin est mise en avant de manière écrasante : face au jeune Tom, le fils du procureur général Farrell (l’un de ceux qui l’ont trahi), Victor n’est plus Sam et il se montre tel qu’un homme qui ne craint rien, libre (ou enfermé ?) dans son idéal de beauté et de liberté. Il est indéniable qu’écouter Sirin parler de sa vie libre de chaque jugement extérieur soit très charmant.
Encore plus attrayante son habitude de signer à l’aide de son fameux crayon, le seul lien avec son passé dans la prison secrète. Mais pourquoi toujours le crayon ? Est-il un symbole de création ou de vengeance ? Pourtant, un crayon est fait de graphite : elle va s’effacer, la poudre s’envole et peut-être la haine ne sera pas éternelle. Comme l’existence, d’ailleurs, et sa fugacité…
Ce n’est pas une nouveauté ou quelque chose qu’on entend pour la première fois : nous ne pouvons pas lire un ouvrage de Jordan Mechner en tant que scénariste, sans n’y pas retracer ses messages et puzzles cachés. D’ailleurs, nous parlons du créateur de Prince of Persia et tel qu’un narrateur d’histoires il développe l’intrigue grâce aussi à un mélange pas toujours évident de souvenirs personnels, de films et d’acteurs qui font partie de sa culture cinématographique et de références à la paix.
C’est comme ça que quelques instants avant l’enlèvement stratégique de Tom Farrell, Mechner fait inclure les couleurs de l’Ukraine sous forme de deux glasses. Mais pas juste. En tournant les pages de Monte-Cristo 2 L’Île nous reconnaissons très clairement le visage de Geoffrey Rush en tant que commissaire-priseur. La référence au film The Best Offer (Giuseppe Tornatore, 2013) est bien évidente. Peut-être que la figure d’une femme qui trahi (la même du film) soit-elle le lien entre le scénario et la pellicule ? L’amour pour l’amour et l’amour pour l’art sous l’échec de la beauté et de la jeunesse d’une femme qui ne respecte pas le cœur de l’homme ?
Depuis un point de vue personnel, nous prenons le recul de cette vision, voire cliché stéréotypé, de la relation homme/femme. Toutefois, par rapport au scénario de Monte-Cristo 2 L’Île, le tout marche très bien. En effet, c’est une astuce qui fait « communiquer » les deux femmes clés de l’histoire : Abby, l’ex-fiancée de Sam, désormais mariée à un député (un autre personnage sinistre responsable de l’emprisonnement de Castillo) et Danica, bien sûr, l’agent de police qui est la seule à dénicher les côtés plus obscurs de Victor et d’aller au-delà des apparences.
Sans aucun doute, l’un des coups de maître du scénariste Mechner a été celui d’inclure un passage de la Bible : encore une fois c’est Victor Sirin qui parle après avoir aidé des « justes », les seuls qui, avec Abby aussi, s’étaient occupés de sa mère.
La référence à Pulp Fiction de Tarantino en Monte-Cristo 2 l’Île se montre ici presque nécessaire et révèle à nouveau quelque chose en plus à l’égard des goûts cinématographiques de l’auteur. Pas besoin de souligner l’excellent travail d’image que l’illustrateur Mario Alberti a fait en acceptant le challenge de traduire en traits et couleurs la vision de l’écrivain.
Cependant, toute la section concernant les opérations boursières qui font partie du plan stratégique de Victor d’appauvrir ses ennemis, est trop technique. Un lecteur qui ne lit pas de nouvelles de Bourse ou qui n’est pas du domaine, a vraiment du mal à comprendre. C’est le risque, d’ailleurs, de perdre le fil de l’histoire.
Abby et Victor/Sam : la rencontre et la rancune avec la Perse en arrière-plan…
Après plusieurs années, Abby et Victor se rencontrent. Est-ce qu’Abby va reconnaître les yeux du bon Sam dans le regard plus dur et à la fois inflexible de Victor Sirin ?
Et surtout, sera la jeune et méfiante policière Danica à gagner dans le subtil jeu de séduction entre Victor et elle-même ?
Le protagoniste de Monte-Cristo 2 L’Île affirme :
« Le désir brouille notre perception de la réalité ».
Toutefois, vu que le même scénariste nous apport toujours des citations d’ouvrages et de poèmes intéressantes, nous voudrons conclure avec les paroles du poète persan Nizami, qui reprend l’histoire d’amour de Laylâ et Majnûn :
« …Ainsi passaient maintes mélodies entre les deux rossignols ivres de leur passion. Ceux qui les entendaient écoutaient avec ravissement, et les deux voix étaient si semblables qu’elles ressemblaient à un seul chant. Né de la douleur et du désir, leur chanson avait le pouvoir de briser le malheur du monde. »
Nizami Ganjavi, Laylâ et Majnûn (1192)
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Monte-Cristo – Le Prisonnier est le premier chapitre d’une trilogie de la bande dessinée réalisée par Jordan Mechner et Mario Alberti, Éditions Glénat BD/Comix Buro. Je vous emmène avec moi dans ce book review d’un ouvrage très intéressant où l’intrigue, la croissance personnelle et l’amour s’entrecroisent. Sous l’œil vigilant d’Alexandre Dumas, bien sûr. Mesdames et Messieurs, Monte-Cristo, Le Prisonnier – premier tome !
Una attaque heureusement ratée, au large. Un jeune homme à l’esprit paisible et amoureux de sa fiancée, naïf et qui est au noir à ce qu’il lui est en train d’arriver. Sam Castillo, le personnage principal de la bande dessinée Monte-Cristo, Le Prisonnier (premier tome) va perdre sa liberté, son travaille et son amour, tout d’un coup. Mais pourquoi ?
Il y a quelques mois, Jordan Mechner, créateur de Prince of Persia, d’autres jeux vidéo, de la charmante histoire des Templiers (bande dessinée réalisée en collaboration avec Alex Puvilland et LeUyen Pham) et de nombreux d’autres ouvrages, il se racontait dans notre interview pour mon ancienne rédaction.
Lors d’un voyage en train à travers l’Europe, il avait relu à nouveau le conte original de Monte-Cristo par Alexandre Dumas. Soudain, l’illumination : la remarquable actualité des sujets abordés par Dumas, pouvait être le début d’un ouvrage moderne et situé dans notre époque. Mais quand et où, d’ailleurs ?
L’histoire originale de l’écrivain français parlait d’intrigues, d’amour perdu, de liberté détruite, du pouvoir de la croissance personnelle et de la vengeance. Alors, l’auteur a pensé de situer son scénario aux États-Unis, au Connecticut et en 2005, donc dans un contexte post-11 septembre, enfin, la réalité qu’il connaissait mieux.
L’histoire de Sam Castillo est charmante : il est kidnappé par la police parce qu’il est accusé à tort d’être l’acteur d’un attentat. Auparavant, il y avait eu une attaque ratée : au large, un navire américain désarmé et utilisé comme musée pour les touristes, avait été presque attaqué par un bateau rempli d’explosif. La tragédie, grâce à Dieu, n’avait pas eu de suite, mais il fallait trouver d’un coupable. Et comme Sam travaillait pour une entreprise qui avait des chantiers aussi en Iraq, il est suspecté d’être un terroriste.
L’histoire de Sam Castillo est très charmante, je vous ai dit, pourtant, au début de ma lecture j’étais presque déçue : je voyais que l’écriture était trop simple par rapport à un sujet si compliqué. Toutefois, j’ai compris tout de suite, que je n’avais rien compris ! (Comme très souvent ça m’arrive, j’avoue.) À cause de la hâte de découvrir des choses, quoi que ce soit, un livre, une personne, un endroit, on rate complètement les détails et c’est ça malheureusement que j’ai fait.
L’écriture au début était plus simple, mais parce que la vie de Sam était plus simple ! D’un côté, il avait son travail, il avait eu une promotion aussi, il était en train de faire des projets de vie régulière avec son Abigail (le mariage, la maison où déménager ensemble). En somme, tout se passait bien. D’un autre côté, c’est quand la vie de Sam est complètement bouleversée qu’elle commence à changer.
En effet, il est enfermé dans une prison secrète, la famille ne sait plus rien de lui, mais la rencontre avec Farhad (très claire la référence à l’abbé Faria de Dumas) sera le début d’une magie. C’est la magie de ne jamais abandonner, de creuser ensemble un tunnel souterrain, d’apprendre des langues étrangères, de briser les chaînes de l’ignorance, de la naïveté. Peut-être au prix de perdre son innocence ?
Ce qu’il fait Mechner, est d’adapter parfaitement le niveau de l’écriture à la croissance intellectuelle et personnelle du protagoniste. Vous pensez qu’il cite un extrait du poème Masnavi, un ouvrage du XIIIe siècle, en persan et écrit par le poète soufi Djalâl ad-Dîn Rûmî ! Ça vient bien sûr de la profonde et varie culture du scénariste.
C’est comme ça que l’écriture change et devient plus soutenue. Elle prend vie en accueillant à la fois, en traduisant de même, les changements de la vie de Sam, les choses qu’il apprend grâce à l’influence très inspirante de Farhad. Le pouvoir de la connaissance au prix de perdre son innocence ? Malheureusement, c’est la seule économie du troc possible et la vraie monnaie d’échange est la liberté.
Pas besoin de citer aussi le CV de Mario Alberti, l’immense artiste italien qui a esquissé TEX, Le Mur, Morgane, je vous cite en fait les éditions françaises aussi parce que en fait Mario a travaillé aux États-Unis, en France et en Italie bien évidemment. Il est vraiment un maître de la BD, d’ailleurs. Et il y a aussi la coloriste, Claudia Palescandolo, donc une autre artiste italienne, très douée et qui a fait un travail, à mon avis, incroyable. En somme, un binôme cela entre le dessinateur et la coloriste qui a donné « un visage » à Monte-Cristo, qu’il lui a donné une forme.
Et c’est juste des formes des corps dessinés par l’illustrateur dont je veux vous parler : des formes athlétiques et bien définies. Ça ne m’étonne pas car Mario Alberti vient de la science-fiction où il faut une certaine façon de dessiner. Pourtant je ne peux pas me passer d’aimer ce particulier : même le corps d’Abigail est athlétique, elle ne vient pas représentée en tant qu’une fée, aux formes élancées. Et ça donne beaucoup plus de réalité à l’ouvrage.
En fait, si vous lisez cet album, c’est comme si vous regardiez un film : il y a l’action, il y a l’intrigue, il y a l’amour. Les photogrammes de l’action et de l’histoire qui se déroule, dansent devant nos yeux. C’est pour cela que je peux regarder entre les pages de Monte-Cristo aussi Déjà-vu avec Denzel Washington, ou Le masque de Zorro avec Antony Hopkins. Bien sûr, c’est mon imagination.
Et comme un film peut être aussi écouté, même cette bande dessinée a la même grâce. Eh oui, vous avez bien entendu : par les dessins de Mario Alberti on peut aussi entendre le bruit ! De plus, il n’utilise pas toujours les onomatopées. Prenons le cas d’une scène au tout début de l’histoire : Sam veut demander à son Abigail « si belle et au cœur pur » d’être son épouse, mais avant de faire ça, il l’emmène face à la maison qu’il a choisie pour sa future famille.
C’est comme ça qu’Abigail est en train de sortir de la voiture, elle a des tongs aux pieds et sur le terrain il y a comme du gravier. Je ne mens pas, chers lecteurs, quand je vous dis que j’ai entendu le bruit, le craquement du pied d’Abigail sur le gravier ! Et c’est juste forme et couleur, il n’y a pas de texte ni d’onomatopées, c’est-à-dire la caractéristique particulière de la bande dessinée. Quoi dire ? Merci, Mario !
Bien évidemment, il y a les solutions classiques pour commander Monte-Cristo – Le Prisonnier : soit vous vous rendez à la Fnac, soit vous commandez en ligne même sur le site de Glénat BD. Pourtant, il y a une troisième option que j’adore particulièrement ! Le scénariste a communiqué que pour ceux qui veulent commander l’album chez la Librairie AZIMUTS de Montpellier, il fera sa dédicace sur leurs copies ! Oui, vous avez bien compris !
Mechner signera votre copie de Monte-Cristo ou d’autres ses ouvrages et la Librairie AZIMUTS s’occupera de l’expédition en Europe ! ^_^ That’s great, n’est-ce pas ? Donc, renseignez-vous sur le site en ligne d’AZIMUTS où trouverez aussi le courriel électronique. J’ai déjà testé, il y a le très gentil et disponible Monsieur Christophe qui vous donnera toutes les infos utiles afin de passer votre commande.
ATTENTION, moment jeu concours ! Glénat BD qui gère l’initiative a mis à gagner la dédicace de Mario Alberti en personne !
Tirage au sort le 22 juillet 2022 ! Allez !
Maintenant, vous savez tout, je pense. J’espère que vous ayez bien aimé ce book review et que vous puissiez partager avec moi le plaisir de lire Monte-Cristo – Le Prisonnier (premier tome) par Jordan Mechner (scénario) et Mario Alberti (illustrations) !
Je vous laisse avec un extrait d’un poème :
« Vendez votre habileté et achetez l’ahurissement. L’habileté est simplement l’opinion, l’ahurissement est l’intuition. »
Mathnawi par Djalâl ad-Dîn Rûmî (XIIIe siècle)
On se revoit bientôt, Ciao !
Monte-Cristo Glénat BD : https://www.glenat.com/hors-collection/monte-cristo-tome-01-9782344043691
Jordan Mechner : https://www.jordanmechner.com/?lang=fr_FR
Mario Alberti : https://www.artstation.com/oiram07
Librairie AZIMUTS : https://www.canalbd.net/azimuts_catalogue_detail_Monte-Cristo-T1-Le-Prisonnier-T1–9782344043691
Dimensions de l’album : 24×32 – 700 grammes de poids comprise l’enveloppe en carton
#allezmontecristo : si vous voulez, vous pouvez partager vos avis en utilisant cet hashtag, why not ? 😉 Toujours avec gentillesse et politesse, svp.
Photo de couverture : Monte-Cristo – Source : Photo Sarah Jay De Rosa
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